La miniature – Pour cela Fiat proposa sa 124 dont la production en Italie allait s’arrêter. S’il y aurait plus de 800 différences entre l’italienne et sa demi-sœur soviétique, toutes deux ont de foertes ressemblances extérieures. Née en 1970 sous le nom de VAZ-2101 Jigouli pour le marché des pays de l’Est, cette voiture prendra le nom de Lada 1200 pour les marchés occidentaux, via son importation par la Belgique. En France ce sont les établissements Poch qui en assuraient la diffusion.  La 1200 possédait un moteur de 1.198 cm3 qui développait 60 ch à 5.600 tr/mn lui offrant une vitesse de pointe de 145 km/h. Pour en savoir plus.

 

La miniature – Signée Ixo, cette Lada1200 (ou cette VAZ 2101 pour l’ex marché soviétique), rappelle étrangement la Fiat 124 qui nous fut proposée la semaine dernière dans la collection Classique de l’automobile. Et pour cause, elle en reprend le moule et les principaux accessoires. Pourtant nous sommes plus proches de la réalité qu’en ce qui concernait la Fiat 124 car la Lada 1200 eut bien un tel avant au cours de sa carrière, notamment en version 1200S avec appuie-têtes pour les sièges avant. Ceci étant, les lignes et volumes de l’original sont bien reproduits. Les traits de peintures représentant les chromes et les joints en caoutchouc sont assez fins pour être réalistes. Tout comme les essuie-glaces et le rétroviseur latéral. La large calandre arbore en son centre un écusson Lada. Elle gagnerait aussi à être noircie et les phares dotés d’ampoules jaunes. Toutefois, la présence de quatre alvéoles rectangulaires sous celle-ci, indique que nous sommes en présence, non d’une 1200 mais d’une 1300. Les roues ont des jantes acceptables.  Sur ce modèle, Ixo a bien fait de dessiner des sorties d’air à la base des panneaux de custode. De même, et à la différence de la Fiat 124, le pli de tôle qui court entre les passages de roues se poursuit sur toute la largeur de la portière arrière. Si à l’avant la hauteur du pare-chocs est acceptable, il en va différemment à l’arrière où ledit pare-chocs est vraiment placé trop bas de deux bons millimètres. Les feux sont métalliques et peints. L’intérieur ne bénéficie pas d’une présentation aussi soignée puisque tout le mobilier est noir. Deux gros cadrans occupent le tableau de bord. Le soubassement est un peu détaillé.

 

LADA 1200 de 1974

 

Ixo/Altaya – collection Route bleue, n° 80 et dernier

1/43ème - LADA 1200 taxi