Après la Corvette qui se prend pour une Alfa Romeo 8C, je vous invite à découvrir un autre miracle de l’artisanat automobile. Voici une évocation d’Aston Martin DBR2 de 1957, due à l’entreprise américaine basée à Phoenix, en Arizona, Rizk Auto.

Cette auto est construite autour d’un châssis monocoque en carbone, recouvert de panneaux en aluminium et en fibre de carbone, qui ne pèse que 100 kg. Si les lignes de cette DBR2 rappellent invariablement et furieusement celles de la DBR2, elle s’en distinguent tout de même sous certains angles. Eh bien évidemment par les motorisations aujourd’hui proposées.

Celles-ci vont de dérivés de moteurs Jaguar 6 cylindres et V12 au V8 LS3 (tiens encore lui) de Corvette. Lesquels sont associés à des transmissions manuelles à cinq ou six rapports ou automatique à six rapports.

Source : autoblog.com