C’est le patron lui-même qui l’a annoncé sur le réseau Bloomberg. Andy Palmer assure ainsi ne pas vouloir tailler des croupières aux Ferrari et autres sportives d’exception du genre mais plutôt prendre l’aspiration de noms qui ont fait de l’art de vivre une démarche d’esthète. Hermes est ainsi cité en référence, plaçant du même fait la France parmi l’élite des Nations faisant le bonheur des élites.

Certes, Aston Martin reste concentré sur la flopée des nouveaux modèles qui vont égayer sa prochaine  gamme tandis que le coupé sportif ne tombe pas en désuétude au grand soulagement de l’agent 007. Mais pour faire des bénéfices qui se font attendre depuis 2010, il faut ratisser plus large. Il est même temps, dans une conjoncture qui a vu les effectifs d’Aston Martin s’alléger récemment de 15%.