De la citadine au gros SUV, la gamme Audi couvre toutes les espèces automobiles. Il manquait juste le «  coupé quatre portes de grand standing », cette sous-catégorie créée de toute pièce par Mercedes il y a cinq ans, avec la CLS, et appelée à un bel avenir. Voilà, c’est fait. L’A7 comble le trou, en se conformant aux règles du genre. Ligne de toit fuyante, quatre portes, donc, et silhouette ramassée – 1,42 m en hauteur -, pour les résumer. Le tout s’étend sur 4,97 m, et adopte un style dans la plus pure veine Audi. C’est sobre, élancé, racé et identifiable entre mille. Et pratique. L’ouvrant du coffre est un hayon, et donne accès à une capacité de chargement au-dessus de la moyenne de l’espèce, soit 535 dm3 – 445, pour la Porsche Panamera de taille identique. Comme attendu, l’habitacle est spacieux, fini avec l’amour du travail bien fait et bourré de technologies toutes plus high-tech les unes que les autres. La routine, chez Audi. L’A7, au final, reçoit quatre moteurs, deux essence et deux diesel, et que des V6. Soit deux déclinaisons du même 3.0 TDI dans le second cas, de respectivement 204 et 245 ch. En ce qui concerne la première, Audi donne des émissions de CO2 réduites à 139 g/km. Un miracle, à ce niveau de gamme et de puissance. Les prix ? Rien en dessous de 55 000 €…


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