Si cela part d'une bonne intention au départ, il suffit d'y réfléchir 2 secondes pour comprendre que tout ceci est exagéré et que la "faute" d'Hamilton ne méritait vraiment pas autant d'écho.


Fernando Alonso que l'on n'imagine pas comme soutien d'Hamilton prend pourtant sa défense :


"Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé mais si un gars de 25 ans dans une voiture de sport fait un peu de bruit avec ses pneus, en parler pendant une semaine, puis établir un protocole de bonne conduite en réaction, je pense sincèrement que c'est très exagéré !


Ce qui est arrivé à Hamilton le regarde lui, c'est sa vie privée, le GPDA n'a aucunement l'intention de statuer sur cet évènement mineur".


Mark Webber, très critique envers les autorités de son propre pays, est aussi visé dans ce manuel du bon pilote de F1, gentil et bien formaté.