Avant de quitter ce salon feutré qui, à défaut de quantité, se conjugue sur le mode de la qualité, un florilège de belles plantes après avoir effeuillé certains beaux châssis. Remarquez que ce dernier terme sied encore parfaitement au sujet, mais comme me disait crûment ma grand-mère : « Touches pas c'est pas pour ton serein ! »

Reste que l'ensemble de la manifestation est passé à côté du clou de la représentation. Au milieu de cette débauche de luxe et de technologie, le blog a retrouvé la matrice qui fait que le sol que l'on foule est plus cool.

Un authentique balais Bissel à technique rotative et alimenté uniquement par l'énergie musculaire et la transpiration de la personne qui l'emploie. Un soldat du développement au moins aussi durable que le temps qui lui faut pour remplir son office.