Suite de la déclinaison de la future C3 après le Picasso de Paris et avant la 5 portes à Francfort. La 3 portes se veut un coupé premium positionné face aux Mito-Mini. Rien que ça.

La DS3 va aussi remplacer les versions hautes de la C2 et la C3 Pluriel. Avec la même diversité (3 caisses), les volumes et la marge devraient être nettement supérieure. Les versions « DS » n’ont aucun rapport avec la console de jeu du même nom mais viendront coiffer chaque modèle de la gamme.

DS3, DS4, DS5 sont des dérivées plus exclusifs, plus chèrs que le cœur de gamme dont ils dérivent mais moins chers que les premiums « de marques ». L’idée est de remplacer une caisse dérivée comme un break ou un coupé par une carrosserie entièrement spécifique : un coupé pour la DS3, un coupé 4 portes pour la DS4 sur base de la future C4 et un crossover genre XC60 inspiré du C-Sportlounge pour la DS5. On les repèrera à la teinte blanche du pavillon (comme la NINTENDO) et aux chromes largement tartinés.

Le design crossovérisant de cette DS3 est particulièrement réussi. Il reprend pas mal des thèmes de l’ancienne TOYOTA Ist : passages de roues gonflés, ceinture de caisse haute, montant B et C cachés par l’émaillage de la vitre de custode. La longueur atteint presque 4 mètres mais les portes à faux sont réduits. Une vraie boule de muscles qui pourrait séduire des clients Mini lassés par la stérilité du rétro-design sur la longue période…

L’avancée du point bas de pare-brise a conduit à mettre une vitre fixe sur porte qui va elle-même mordre sur le passage de roue avant. Remarquez le nouvel emblème de la marque à deux boomerangs au lieu de deux chevrons. Certainement un signe fort des ambitions de la marque pour le marché australien.