Conclusion : la BMW Z3 plus accessible

Aucun vilain canard parmi les roadsters germaniques et aucun doublon non plus. Chacun possède son look, sa personnalité, ses choix techniques qui procurent au final un agrément général et un plaisir de conduite bien différents d'un modèle à l'autre. Vive la diversité ! Seule constante : une décote un peu lente. S'il nous fallait choisir, nous opterions, avec un petit budget, pour la Z3 2.8 dans les plus anciens millésimes disponibles et, sans contrainte financière, pour le Boxster 2.7, voire le SLK restylé, équipé du 6 cylindres bien sûr et, pourquoi pas, de la boîte automatique.