Très bien suspendue, la Mazda 3 conjugue un comportement serein et plaisant en toutes circonstances et un confort de suspension quasiment irréprochable. Le seul grief va aux bruits de roulement en provenance des arches de roues et des suspensions parfois trop perceptibles.

La direction, qu’elle soit à assistance hydraulique comme sur la 1.4 et 1.6 ou électrohydraulique (Diesel ou 2 litres) se montre précise, avec un point zéro bien marqué et relativement directe avec un 2.9 tours de volant de butée à butée. Le freinage confié à quatre disques (ventilés à l’avant), secondé par l’ABS et l’amplificateur de freinage d’urgence, se défends bien. Et longtemps. Bref, elle distille un réel plaisir de conduite, comparable aux compactes européennes les plus douées du moment.