Si Fiat a finalement réussi son acquisition de Chrysler, le groupe italien n'a pas connu le même succès dans le dossier Opel !

Aujourd'hui, le premier ministre du Land de La Hesse enfonce le clou:

"La proposition de Fiat aurait créé plus de problèmes qu'elle ne pouvait en résoudre. Il n'y aucune raison pour que General Motors et Magna ne parviennent pas un accord".

Le projet de Fiat était, selon le premier ministre, plus flou et allait probablement déclencher plus de licenciements que la solution apportée par Magna.

On attendra désormais de voir de quoi le futur d'Opel sera fait.

Voici au passage la répartition des actifs du constructeur allemand:

20% vont à Magna, 35% à la banque russe Sberbank, 35% restent à General Motors, et 10% vont aux salariés d'Opel.

Un partage hétéroclite... mais sera-t-il bénéfique ?

Source: Automobile.challenges.fr