Bon déjà, les Allemands aimeraient bien s'acoquiner avec une marque Alfa Romeo qui ne se laisse pas attraper comme ça. Mais Fiat, ma foi, c'est intéressant, et d'abord parce qu'avec le binôme Chrysler, ça ouvre des perspective de réseaux aux Etats-Unis. Alors on réfléchit et on aurait trouvé un intérêt auprès de certains actionnaires qui, eux, ne jurent que par Ferrai. Un cheval cabré aux airs de poule aux œufs d'or.


C'est le mensuel allemand Manager Magazin qui a lancé le bruit qui n'a reçu aucun écho auprès des intéressés. Ni pour, ni contre, bien au contraire, voilà la conjoncture du moment. Il y a certes encore loin de la coupe au lèvre, mais on en cause au comptoir.