Essai - Seat Léon Cupra R : sur un air de Salsa
Essai - Seat Léon Cupra R : sur un air de Salsa

Chez Seat, posséder une sportive ne signifie pas avoir une voiture mal équipée. C’est même tout le contraire. La Léon Cupra R reçoit le même équipement que la précédente version comprenant notamment la climatisation automatique, les 4 vitres électriques, l’ordinateur de bord, les jantes alu 18 pouces anthracite, des sièges Recaro AV et AR qui font de la Cupra R une simple 4 places, un pédalier alu et un volant 3 branches gainé de cuir noir avec une bande de cuir rouge au centre pour indiquer le centre de la direction ( un détail un peu kitsch que l’on retrouve aussi sur la Focus RS).

Essai - Seat Léon Cupra R : sur un air de Salsa

Côté finition, la Seat n’a pas à rougir face à la concurrence. La Cupra R adopte la même ligne de conduite que les autres productions du groupe VW c’est à dire sérieux mais pas forcément très joyeux, ce qui est dommageable pour un modèle sportif qui aurait bien supporté quelques petites extravagances. On se consolera avec les fonds de compteurs blancs.

Essai - Seat Léon Cupra R : sur un air de Salsa

Fidèle à l’image sportive qu’elle veut se donner, la Léon Cupra R sera disponible en 4 teintes dont 3 typiquement racing à savoir : jaune ovni, rouge flash et noir ebano. Les amateurs de discrétion opteront pour leur part pour le conventionnel gris sombra. Pour 30.280 euros, soit le même prix que la version 210 ch, la Seat Léon Cupra R 225 ch semble une bonne affaire. Plus chère qu’une Subaru WRX affichée à 28900 euros mais moins coûteuse qu’une Focus RS uniquement disponible en 3 portes. Un peu mieux équipée et nettement moins radicale que la Ford, la Léon Cupra R joue plus franchement la carte de la polyvalence, dans la lignée de l’Opel Astra OPC 200 ch.