Sur les six niveaux d'équipement répertoriés, le « XT » n’est disponible qu’avec la 2 litres turbo de 240 chevaux, et à l’opposé, la finition « 2.0 D » équipe uniquement la version diesel de base. Une motorisation à gazole particulièrement gâtée puisqu’elle donne le choix entre quatre autres niveaux d'équipement, « Premium » et « Sport » et les mêmes dotées pour 3 000 € de plus du « Luxury Pack » (LP) incluant toit ouvrant électrique, système de navigation GPS à écran VGA 7’’, sellerie cuir, vitres arrière surteintées et keyless access.


En essence 150 chevaux, le choix se limite entre « Premium » et « Premium LP ». Pour des versions qui vont se vendre à quelques dizaines d’unités par an, c’est déjà un bel effort de l’importateur. Au total, on dénombre donc cinq versions à essence et autant en diesel au catalogue. Là encore, il s’agit d’un vaste choix pour un véhicule qui ne se vendra pas à des milliers d’exemplaires annuellement.


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Le premier niveau « 2.0 D » réservé au diesel qui correspond grosso modo à la « X » du précédent Forester propose de série un équipement déjà bien fourni dont la climatisation manuelle, les sièges AV chauffants, trois prises 12V, un système audio CD à 4 haut-parleurs avec Bluetooth et port USB, petit écran multifonction (consommation, calendrier, aide à l’économie de carburant, éco-évaluation, température extérieure, check-up du véhicule, fonctionnement des systèmes AWD et VDC) avec sélection des informations par commande au volant, les feux de jour à DEL, les feux antibrouillards, 8 airbags, … mais il lui manque pour séduire le volant gainé cuir, les projecteurs HID, les rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement, et surtout le régulateur de vitesse que nous mentionnions page précédente.


Des éléments qui se retrouvent sur la finition médiane « Premium » facturée 3 000 € de plus, qui offre aussi la climatisation bizone, le siège conducteur à 8 réglages électriques, l’allumage automatique des feux, le grand écran 4,3 pouces pour l’affichage multifonction, 2 HP supplémentaires, la caméra de recul et l’ouverture/fermeture électrique du hayon.


Au dessus, la Sport facturée 1 000 € en sus se distingue principalement par ses boucliers AV, sa sellerie tissu-PVC, le pédalier alu et ses jantes en alliage 18’’.


Les options sont limitées à la peinture métallisée (500 €), à la sellerie cuir (2 100 € sur Premium, Sport et 2.0D, de série sur XT, Premium LP et Sport LP) et au toit ouvrant électrique (1 000€ sur Premium et Sport, de série sur XT, Premium LP et Sport LP). Pas d’aides à la conduite à se mettre sous la dent comme l’avertisseur de sortie de file ou d’angle mort, l’affichage de la signalisation ou le freinage automatique à faible vitesse, comme quoi chez Subaru, les conducteurs sont comme les autos, sérieux, bien concentrés sur la conduite.