D’après l’étude Ipsos réalisée pour Veolia Environnement, la ville idéale serait un compromis du « cadre de vie de Sydney et Chicago, la propreté de Los Angeles, la taille humaine de Lyon, la fête et l’amour d’Alexandrie, la facilité des rencontres de Berlin, les transports en commun de Tokyo, la diversité des populations de New York, le dynamisme économique de Shangai et Pékin, l’architecture de Prague et…l’offre culturelle de Paris » ! Notre capitale est ainsi très réputée et appréciée pour sa culture, le sport et les loisirs qu'elle propose, mais en contrepartie elle jouit d’une très mauvaise réputation lorsqu’il s’agit de la pollution atmosphérique.

Paris apparaît alors comme une « pratique et culturelle », de même que Londres, Lyon et New York. Berlin, Prague et Alexandrie sont davantage considérées comme « festive » et Mexico par contre est la ville qui fait le plus peur aux citadins, à cause de la pollution de l’air et surtout l’insécurité qui y règne.

La qualité de vie et de l’environnement urbain sont donc des critères aussi importants que le coût de la vie. Malgré une qualité de l’air médiocre souvent due à la circulation et aux embouteillages, Paris se situe dans la moyenne haute. Les Parisiens sont confiants quant à l’amélioration de leur environnement urbain, mais ce sont les moyens financiers et techniques qui manquent d’après la majorité des personnes interrogées.

A bon entendeur, chers candidats à la Mairie de Paris…