La mesure n'est pas banale, ou, à tout le moins, c'est sa communication qui n'est pas commune. Ainsi donc, Renault, ce n'est pas Williams des heures de gloire, et lorsqu'un problème de pit stop surgit, les défaillances humaines sont analysées. Et si avérées, traitées.

De fait, le préposé au pneu arrière droit de l'écurie a été prié de retourner faire ses gammes à l'usine, plutôt qu'au grand air de la compétition officielle. Il ne serait pas étranger au souci d'Alonso en Hongrie et ne serait pas pour rien au raté de Chine non plus. Tout ça après étude poussée du team.

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Soit. Voilà de quoi rassurer Alonso qui doute de ses troupes, voici de quoi avérer la déclaration du losange affirmant bien le soutenir à « 150% » en réponse aux récents états d'âme de ce qui est encore son champion.

Mais pour être tout à fait complet sur le sujet, il faut dire aussi que le préposé à la roue arrière droite a également fait partie de l'ensemble du ravitaillement de Fisichella. Un arrêt relevé comme le plus court et donc le mieux réussi de la course.