Alors que de premières rumeurs évoquaient un tarif cible de 35 000 à 40 000 euros pour l’éventuelle future Alpine, la presse anglaise avance un tarif plus élevé, de l’ordre de 50 000 euros. Ce qui fait une « sacrée » différence. Du coup, on ne sait plus à quel sein/saint se vouer.


Rappelons que si le désir de Carlos Tavares est fort de voir ce projet se concrétiser, il a indiqué que, pour cela, il faudra que Renault trouve un partenariat avec un autre constructeur. Evidemment, Renault pourrait se tourner vers Nissan dont la future Z pourrait être plus légère et équipée d’un moteur 4 cylindres turbo. Mais, manifestement, cela ne semble pas constituer une bonne piste. Sont plutôt favorisées l’hypothèse évoquant un éventuel partenariat soit avec Mercedes, qui pourrait en profiter pour élaborer une future SLC et ainsi donner une petite sœur à la SLS, ou l’hypothèse évoquant un partenariat avec Lotus, qui a récemment collaboré avec Infiniti (marque du groupe Nissan) autour du concept Emerg-E. A ce tarif-là, soyons donc fous. Pourquoi ne pas envisager un ménage à trois ou quatre du type Renault/Nissan avec Mercedes et Lotus. Après tout, Mercedes a déjà envisagé il y a quelques temps de se rapprocher d’un autre constructeur anglais, Aston Martin. Mais le projet était tombé à l’eau.


Sans doute en saurons-nous davantage d’ici la fin de l’année puisque Tavares est décidé à boucler le dossier sans traîner. Peut-être pourra-t-il alors aussi nous indiquer le nom de la marque retenu : Alpine, Alpine Renault, Renault Alpine ?