Le stand Bentley était comme chaque année fort bien fourni en très grosse artillerie. Après le nouveau porte-étendard Mulsanne et la très, très puissante Continental GT Supersports, le constructeur de Crewe apporte maintenant le même traitement extrême à son pendant cabriolet. Le résultat est toujours un mix subtil entre violence, classe et élégance.

Cela ne fait aucun doute, il n’y a pas mieux qu’une Continental GT pour cruiser à vitesse plus ou moins déraisonnable sur voie rapide. Cette dernière version sera sans doute la plus agréable à vivre dans ces conditions, une fois les beaux jours revenus.

Coté moteur, on retrouve la même cure de vitamines que sur la Supersports coupé, c’est-à-dire un W12 de 6,0 litres porté à quelques 621 chevaux et 800 Nm de couple. Évidemment, la différence se trouve au niveau du toit à capote, qui une fois rangée dans son logement permettra à ses passagers de détruire leur brushing en effectuant un 0 à 100 km/h en 4,2 secondes avant d’atteindre 325 km/h en vitesse de pointe.

Et coté gueule, pas de doute. Elle est impressionnante. Élégante certes, mais impressionnante.