De Chrysler, il ne restera que le Grand Voyager et à y regarder de plus près c’est une décision assez cohérente car c’est surement le seul modèle du constructeur américain qui avait une certaine légitimité en Europe ce qui est logique vu son passé (27 ans d'existence et treize millions d'unités vendues dans 120 pays du monde entier). Pour obtenir son nouveau monospace, Fiat a donc tout simplement rebagdé le Grand Voyager. Sur le plan esthétique, les différences portent sur la face avant avec une nouvelle calandre, des blocs optiques inédits et un bouclier redessiné mais aussi sur un hayon repensé.
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Dans l’habitacle, sans surprise avec la modularité Stow ‘n Go® exclusive à Chrysler et le lien de parenté avec la marque américaine ne trompe pas puisque le levier de vitesses est implanté sur la planche de bord, comme sur certains modèles provenant d’outre-Atlantique. La qualité perçue et l’équipement s'améliore. Au moment de son lancement, le Grand Voyager sera décliné en trois finitions (Silver, Gold et Platinum). Des noms pas très italiens, me direz-vous !
Sous le moteur, le Grand Voyager est animé par deux motorisations : (le 3.6 essence de 283 ch et le 2.8 diesel de 163 ch.
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