Essai - Citroën C4 Picasso : de 5 à 7

Avec de nombreuses commandes fixes regroupées autour de l’airbag conducteur, la planche de bord est plus encore ici nette et sans bavure. Si le frein à main est devenu frein de stationnement à commande électrique (situé presque en haut de la console centrale sous le bloc à instruments incluant le compte-tours, malheureusement numérique), le levier de vitesses des nombreuses versions à boîte robotisée (BMP6) migre près du volant. L’espace n’est pas entièrement dégagé au centre du plancher dans le cas de la boîte manuelle disponible avec les motorisations de base.

Essai - Citroën C4 Picasso : de 5 à 7

De nuit, on peut compter jusqu’à 32 sources lumineuses pour éclairer l’habitacle, dont certaines indirectes très douces et une lampe nomade (sur Pack Ambiance et Exclusive) rechargeable en roulant comme à bord de la Dodge Caliber. Particulièrement peaufiné, l’éclairage du combiné central évite toute gêne en conduite nocturne. La commande de chauffage-climatisation se dédouble aux deux extrémités de la planche de bord. Avec la climatisation automatique (sur Pack Ambiance et Exclusive), les occupants de deuxième rang disposent de bouches d’aérateurs sur les pieds milieu à débit d’air réglable et une fonction « Rest » permet de maintenir la ventilation moteur coupé pendant 8 minutes. Seule l’Exclusive a droit au capteur de qualité d’air qui déclenche le recyclage en cas d’air extérieur vicié.

Une très bonne position de conduite est facile à trouver pour tous les gabarits. Les sièges « confort » ne sont de série que sur l’Exclusive. Ces derniers nous ont longuement et idéalement soutenus. On ne se prononcera pas sur les autres à peine effleurés. La qualité des matériaux et d’assemblage semble se situer dans la bonne moyenne de la catégorie.