Poser notre séant dans une Bristol Blenheim Speedster nous aiderait-il à approcher, ultérieurement, notre but ultime ? Une telle préparation, vécue derrière le volant ou même de l’autre côté de la boîte de vitesse automatique toute droite dressée, nous permettrait-elle de patienter avant de glisser tout ou partie de notre bienséante personne, à fonds perdus d’avance, à bord d’une Fighter T ? Mieux, qui sait, pourrions-nous simplement guérir, le plus naturellement du monde, de cette idée d’aimer, de cette idée de faire l’amour en Bristol Fighter T ?


Votre aide me sera précieuse. Non moins les échanges que nous pourrons nourrir sur ces questions.