L'Etat reconnaît avoir un par automobile composé de 65.000 véhicules. Un sacré garage qu'il a décidé de réduire et de gérer différemment. D'ici 2017, il devra s'alléger de 10%. Interdiction d'acheter les modèles trop coûteux, interdiction de choisir les options les plus onéreuses, assurances désormais obligatoires, passage systématique par les centrales d'achat pour baisser les coûts d'acquisition, voilà quelques mesures décidées pour réduire la facture.


Par ailleurs, 50% des véhicules acquis seront « propres » l'an prochain, ce qui signifie la fin de la suprématie des diesels. Il y aura également une descente en gamme des voitures, une démarche qui impactera tous les niveaux, y compris les ministres.