Message important : ceci n'est pas une saucisse du vendredi ! Ne rigolez pas, allez stop, arrêtez de rigoler, çà se fait pas ! SVP stop ! C'est pas drôle ! Je vous jure ce n'est pas une saucisse ! Je vous demande de vous arrêter !

Certes, une Lada de base n'est pas forcément ce qu'il se fait de mieux dans l'industrie automobile... l'engagement en WTCC n'a pas encore changé l'image de marque du constructeur russe, et ce ne sont pas ces préparations artis-anales qui changeront la donne !

Certes, l'avenir de la marque semble prometteur avec quelques alliances industrielles et grâce à Lotus on sait à présent qu'on peut toujours tirer quelque chose d'à peu près bien d'une Lada..., mais la marque Lada reste quand même plongée dans les abysses du succès et ne risque pas de sortir la tête de l'eau avant longtemps... à se demander si elle ne se mettra pas une balle avant !

Revenons à cette saucisse... pardons, un lapsus... elle est l'œuvre... enfin vous m'avez compris... du préparateur russe TMS (TorgMash Sport)!

Cette Lada Kalina GTi repose, comme son nom l'indique, sur la Kalina que l'on pourrait très bien avoir un jour chez nous en version normale en concurrente de la Dacia Logan !

Sous son capot, la Kalina GTi développe 161 ch pour un couple de 169 Nm ce qui l'autorise à atteindre les 220 km/h en vitesse de pointe... enfin, si quelqu'un se dévoue pour en prendre le volant !

Question esthétique... j'oserai même prononcer le terme d'aérodynamique..., votre œil expert en Lada est sans doute subjugué par la teinte orange saucisse et un méchant kit composé d'un bouclier avant spécifique, d'une prise d'air sur le capot, d'élargisseurs d'ailes, de bas de caisse, d'un bouclier arrière sport avec double sortie d'échappement chromée centrale, d'un immense aileron, d'une trappe à essence sport en alu et de jantes bicolores.

De son côté, l'intérieur fait la part belle à des sièges baquets tendus d'un cuir bicolore rappelant la teinte extérieure, un volant sport, des touches d'alu sur le levier de vitesses, le frein à main et le pédalier !

Au final, c'est pas trop mal... les jeunes russes peuvent maintenant rouler fièrement dans une auto nationale !