La position de conduite conditionne l'efficience des gestes, la rapidité d'action et la fatigue musculaire. La posture comprend la position du conducteur dans le siège. Celle-ci déterminera sa fatigue dorsale ainsi que celle de ses vertèbres cervicales.

Voici déjà quelques éléments qui accentuent la fatigue au volant:

- s'installer sur la pointe du postérieur ;

- les bras trop tendus ;

- les mains crispées sur le volant ;

- les épaules contractées ;

- les mâchoires serrées, l’œil fixe ;

- une position de conduite recroquevillée ;

- le front crispé et ridé.

Bref, voilà ce qu'il ne faut pas faire…

Roulez zen

L'habillement joue aussi un grand rôle, alors bannissez les tenues les Bronzés font du ski. En conséquence, évitez de comprimer la gorge, le thorax ou le ventre. Écharpes, doudounes et parkas sont à laisser dans le coffre ou sur la banquette lorsque vous conduisez. Veillez également à porter des chaussures souples, sans talons hauts, évitez les pieds nus (laissez cela à Françoise Sagan…).

Pour une conduite confortable, privilégiez une position détendue, jambes allongées, épaules et nuque souples, mains posées sur le volant sans crispation. Pensez aussi au sourire !

Être détendu au volant vous permet d'assurer avec dextérité tous les gestes de la conduite et retarde l'apparition de la fatigue.