4. Les modes de locomotion alternatifs et les accessoires

• le longboard magnétique de Philippe Riandet :

il est dérivé du skateboard. Il est conçu pour rouler sur le bitume et franchir les trottoirs. Il est équipé d'un dispositif magnétique maîtrisable, constitué d'aimants amovibles situés dans les chaussures et d'une plaque de fer incrustée dans un plateau de longboard allégé. Il colle ainsi aux pieds. Il permet l'apprentissage des figures. Le prix de vente : 79 euros pour le plateau, 79 euros pour les chaussures et 21 euros pour les aimants (soit un total de 179 euros).

• le bladeboard de Frédéric Michel :

le mot "blade" signifie en anglais "lame" et le mot "board" veut dire "planche". Le bladeboard est donc une planche dont la disposition des roues fait penser à une lame. Le fonctionnement technique est le suivant : la disposition des roues forme une courbe, c'est cette particularité qui permet de tourner. L'intérêt du bladeboard : pouvoir bénéficier d'une grande maniabilité dans le ride et d'un angle d'attaque important dans les virages. Le prix de vente : 289 euros.

• le roller stock de Eric Bonnay :

il s'agit d'un support pratique pour ranger facilement des rollers en ligne. Il ne demande que quelques minutes pour son installation. Il est possible de le faire évoluer en ajoutant ou supprimant un module. L'inventeur cherche des partenaires industriels. Les policiers à rollers s'intéressent à son concept !

• l'EasyMétros de Florence Poulet-Daumas :

cette machine, de la taille d’un téléphone portable, est une alternative pratique et ludique au plan papier de métro. Elle a plusieurs fonctions : elle calcule l'itinéraire le plus court en métro ; elle indique le temps de trajet et le nombre de stations ; elle trouve la bonne correspondance ; elle évite les erreurs dans le choix des directions. Elle permet d'obtenir vocalement et sur un écran ces informations.