Après Paris, c'est au tour de Lille de mettre en place une nouvelle organisation de circulation afin de privilégier les transports en commun. "La fréquentation automobile a porté en trente ans un dommage aussi important que celui commis par l'industrie, au point d'en figurer les places, les boulevards, les espaces de détente" estime Martine Aubry, maire de Lille. Face à ce constat, elle souhaiterait mettre en place une nouvelle organisation de la circulation et diminuer de façon conséquente le nombre de véhicules non-résidents dans le centre ville.