Pour Mini, la croissance passe aussi par la nécessité de répondre aux attentes des clients dont les familles s’élargissent. Telle est précisément la mission du Countryman, crossover charmeur qui, c’est une première dans la gamme, ne se présente pas comme une interprétation moderne d’un modèle du passé.

Long de 4,10 m, soit 40 cm de plus qu’une Mini et 16 de plus qu‘un Clubman, il offrira 4 ou 5 places au choix (la banquette arrière trois places et rabattable 60/40 est une option gratuite) et un volume de coffre oscillant de 350 à 1170 litres. Touche d’originalité, un rail en aluminium parcourant l’habitacle permettra de fixer ou faire circuler divers accessoires, tout en assurant l'éclairage d‘ambiance. Pour animer l'engin, des moteurs satisfaisant à la norme Euro 5 et déjà vus dans le reste de la gamme Mini.

Les puissances s’établissent à 98 (Mini One Countryman), 122 (Mini Cooper Countryman) et 184 ch (Mini Cooper S Countryman) en essence, 90 et 112 ch en diesel (One D et Cooper D Countryman). La transmission intégrale Miniall4 reste une option et sera réservée aux Cooper D et Cooper S. Celle-ci disposera d’un différentiel central électro hydraulique pouvant envoyer 100 % du couple au train arrière dans les situations les plus délicates.

Commercialisation à partir de septembre, pour des tarifs légèrement supérieurs à ceux de la Clubman à motorisation et équipement équivalents (à partir de 20 000 € environ). Chronique d’un succès annoncé? Pas encore certain, mais force est de constater que Mini a jusqu’ici visé assez juste…