En effet, la rumeur d’une collaboration – voire davantage – avec Daimler (Mercedes) est plus pressante que jamais, mais pour déboucher sur quoi ?


Car pour le moment, Aston Martin est de nouveau poursuivi par ses vieux démons. La marque compte sur une plateforme « qui date » pour multiplier les modèles dont certains peinent à s’imposer. On pense notamment et malheureusement à la sculpturale Rapide. A ce jour, deux modèles seulement dérogent à la vieillissante plateforme inaugurée par la DB9 : la One-77, seulement produite à 77 exemplaires et commercialisée à un tarif exorbitant digne de son rang, et la Cygnet, une Toyota rebadgée…


Bref, il y a urgence pour Aston Martin de réagir. Car contrairement à tous ses concurrents directs et indirects, Aston Martin ne peut compter que sur elle-même pour se développer à la vitesse d’une tortue. C’est sa force et aussi sa faiblesse.