Après la mise à pied de trois hauts cadres de chez Renault (dont un membre du comité de direction) pour une nouvelle affaire d’espionnage industriel ayant peut-être trait aux véhicules électriques, un domaine où Renault est à la pointe, cette question peut se poser.


Après des affaires d’envergure ayant touché, ces dernières années Michelin, Valeo mais aussi… Renault (on se souvient de l’affaire Wind/Auto Plus), il semble bien que l’industrie automobile soit un secteur où les fuites sont légion.


Seulement, c’est sans doute parce que l’automobile reste au cœur de l’activité économique et industrielle de nos sociétés qu’une telle impression point.


Alors, si l’industrie automobile est indiscutablement sensible et propice aux fuites, elle n’en a certes pas l’apanage.