Il est toujours 22 heures et, ce soir, essayons de lire la Fiat Panda de deuxième génération.


Il n’y a pas que les livres qui se lisent. Il y a aussi, par exemple, l’automobile ou des automobiles en particulier. Alors, pour tenter ce soir une lecture de la Fiat Panda de deuxième génération, je vous propose de commencer par en faire un tour et de vous livrer quelque impression visuelle, quelque première interprétation. Idéalement proportionnée pour un usage urbain, elle présente, en comparaison par exemple avec une Citroën C1, l’inconvénient de l’avantage de sa hauteur : un centre de gravité que l’on devine – puisque de soupçonner ici il ne sera pas question – relativement haut placé. Au moins, même si le lien de cause à effet serait aussi fallacieux que de conclure que si j’étais aveugle je n’écrirais pas pour Caradisiac, le pommeau de boîte de vitesses tombe-t-il parfaitement sous la main puisque arrimé au tableau de bord. Mais de cela on se serait peut-être douté tant les véhicules présentant une forme monocorps sont sans doute aujourd’hui majoritairement dotés d’un tel appendice ainsi disposé.


Alors que dire, toujours en comparaison d’une Citroën C1 ou de ses cousines Peugeot 107 et Toyota Aygo, qui le lui rendent bien (nous allons y venir…), de son « quatre pattes » ? Si ce n’est que la musicalité qu’il produit et l’entrain qu’il prodigue me siéent moins que ceux du trois cylindres du trio franco-japonais.


Et puisque tout cela n’est qu’une lecture, très partielle et très partiale, de la Fiat Panda Mk II, je vous propose de la prolonger, de la compléter, de l’amender, de la transformer par vos commentaires pendables.

"PS: Mes excuses pour le rendez-vous raté d'hier soir. Il m'a été impossible de l'honorer en raison d'un problème technique."