Il est 22h et c’est l’heure mais oui il est l’heure de faire chauffer les caboches et péter les durites.


Comment les décideurs d’Audi ont-il choisi les noms des véhicules de la marque il y a plusieurs années maintenant lorsqu’il s’est agi de retenir une dénomination du type : « A » plus un chiffre ?


A l’époque Audi ne pouvait pas encore s’enorgueillir d’un statut équivalent à celui de BMW et Mercedes. Et les décideurs de la marque nourrissaient une sorte de complexe d’infériorité « à l’envers » c’est-à-dire qu’ils se sont dit : pour que nos modèles dépassent à terme le prestige de ceux de nos concurrents nous allons surenchérir sur le nom. BMW à sa Série 3, véritable ossature de la gamme, nous aurons une A4 concurrente. Et cela tombe bien puisque, chez Mercedes aussi, on s’est fixé sur le chiffre « 3 » (la lettre choisie pour désigner la rivale de la Série 3 par Mercedes n’est-elle pas la troisième lettre de l’alphabet, le « C » ?). Et voilà comment tout à commencé.


Maintenant que les déclinaisons de modèles se multiplient au sein de toutes les gammes des constructeurs allemands premium, il en va un peu différemment. Tenez, prenons toujours BMW : une future Série 4 est en préparation. De quoi s’agit-il ? D’une coupé Série 3. Et chez Audi que se passe-t-il ? L’A5 existe déjà comme la Série 5 laquelle est la concurrente de l’A6… etc.


Promis, demain, nous quitterons la sphère des chiffres et des lettres pour nous poser une question hautement existent/cielle.