Sous le capot rien de nouveau, le Berlingo reprend les motorisations PSA usitées sur d’autres modèles de la gamme. Avec son couple plus important (240 Nm à 1 750 tr/mn) et son overboost, le Hdi 110 ch FAP est la version à recommander pour un usage familiale. Un compromis idéal entre performance et agrément. Sa conso est d’ailleurs des plus raisonnables avec une moyenne de 6l/100 km relevée sur notre parcours.

Chargé avec 5 passagers, la version 72 ch risque de paraître un peu juste. Le Hdi 90 ch, lui représenterait la carte économique. En essence, l’offre se compose du 1.6i 16V en 90 ch et 100 ch. Cette dernière devrait représenter une infime partie des ventes.

Essai - Citroën Berlingo : l’utilitaire à l’agréable

Voici l’un des progrès les plus marquant. Le comportement du nouveau Berlingo n’a plus rien de comparable. Le confort général de roulage et la tenue de route stable sont effectivement dus à l’adoption des trains roulants du C4 Picasso. Avec son centre de gravité plus bas qu’un monospace, le Berlingo ne souffre pas de l’effet de roulis. Sa conduite est des plus agréables et les passagers peuvent compter sur un amortissement de qualité. En terme de comportement, le Berlingo n’atteint pas encore celui d’un C4 Picasso ou d’un Renault Scénic, mais s’en rapproche dangereusement… Surtout compte tenu des tarifs affichés.