ASTRA SportTourer

Mondial de Paris : l'oeil de lynx

Cerné de monospaces, le possesseur de break passerait presque pour un séducteur branché. Sachant que le break Astra représente le quart des ventes du modèle en Europe, contre 17% en moyenne sur le segment, il y a un vrai enjeu pour OPEL.

Pour le design, le brief de l’Insignia, «dessine moi une AUDI Avant», est reconduit. Le résultat est très réussi et plus léger que sur la grande. Le hayon tout aussi incliné descend très bas mais n’est plus autoclave et perd les feux embarqués. Trop cher mein Kind.

Les dimensions sont identiques à Mégane Estate mais comme l’Astra berline a un empattement long (2.67 m), celui-ci est conservé sur le break et les 18 cm supplémentaires sont à 100% sur le porte-à-faux AR.

A l’intérieur on remarque le basculement à distance de la banquette AR, baptisé FlexFold. Pas idiot cette appellation générique de modularité OPEL : Flex7 (sièges AR de Zafira), FlexDoor (les portes antagonistes de Meriva), FlexRail (compartimentage de coffre de l’Insignia) et FlexFix (porte vélo escamotable dans le bouclier) prévu sur ce break en option. Coffre identique à l’ancienne (500 dm5, Mégane 524).

Mêmes moteurs que la berline et apparition du stop/start (pas FlexStart ? un oubli ?) sur le 1.3 l CDTI 95 ch.

SOS en décembre.

ASTRA GTC

Mondial de Paris : l'oeil de lynx

Ce sympathique nouveau coupé ASTRA de 4.46 m (Mégane Coupé 4.30 m) donne envie de s’évader. La ligne générale et le traitement de la custode sont proches du coupé Mégane avec des ailes arrière plus marquées qui prennent naissance dans la porte. Abandon du pare-brise panoramique génial qui n’a guère été vu en dehors des salons et des parcs presse.  Moteur 2.0 l turbo GDI qui annonce un nouveau compagnon de route d’OPC.