Essai - Peugeot 307 2.0 16v Féline : lionne de luxe

Avec plus de 2 200 000 exemplaires produits, la 307 est ce que l'on appelle un best seller et elle truste régulièrement les premières places du segment des berlines compactes en compagnie de la Renault Mégane.

Lancée en avril 2001, la 307 subit aujourd'hui son premier restyling, une démarche logique après 4 ans de bons et loyaux services. Même si les changements esthétiques sont importants, la 307 conserve ses principales caractéristiques techniques comme par exemple son architecture haute.

De profondes améliorations

Essai - Peugeot 307 2.0 16v Féline : lionne de luxe

Les rectifications portant sur la face avant sont relativement importantes. D'une manière générale, la 307 adopte le nouveau style de la marque déjà vue sur la 407. Dans les détails, ces modifications comprennent un capot en aluminium plus court, de nouveaux projecteurs elliptiques plus étirés et surtout un imposant bouclier qui intègre une immense entrée d'air en partie inférieure. Les versions les plus dynamiques, comme c'est le cas de la Féline, reçoivent pour leur part une grille noire à barrettes chromées et de nouveaux projecteurs antibrouillard à fûts chromés. Aucune évolution en revanche à l'arrière.

Essai - Peugeot 307 2.0 16v Féline : lionne de luxe

Quelques transformations touchent aussi l'habitacle avec notamment de nouveaux habillages. Si l'impression est très positive au premier regard avec du cuir surpiqué, identique à celui de la version Coupé-Cabriolet, l'examen approfondi est plus critique car on reste très vite sur notre faim. Le cuir côtoie en effet des plastiques durs indignes d'une définition haut de gamme. Peugeot a donc encore des progrès à faire en matière de finition.