Non mais quelle C.. ! Autant je ne suis jamais tombé en émoi en admirant la face avant de cette Ferrari F50, autant son popotin reste à mes yeux un monument de l'automobile assurant une parfaite transition entre la bestiale F40 et la sculpturale Enzo..

Commercialisée en 1995, cette supercar est un véritable concentré de technologie, pas de réchauffé que de l'innovation et des technologies issues de la compétition.. avec une véritable structure monocoque.. La motorisation rompt avec la brutalité mécanique qui faisait le charme de son aînée pour un plus grand raffinement technique avec un moteur atmosphérique V12 développant 520 chevaux et hurlant toute sa fougue a plus de 8500 trs/min.. le plaisir cheveux au vent doit être exquis..

Les photos ne nous permettent malheureusement pas d'apprécier les sièges au superbe design, dont le maintien doit être en rapport avec le look..