En mars 2011, Lamborghini présente la descendance de la Murcielago et de la plus lointaine Diablo, l'Aventador. L'Aventador LP700-4 doit en effet récupérer le flambeau de la Murcielago qui était, on le rappelle, la première véritable auto née du rachat de la marque au taureau par Audi.


Depuis, les quatre roues motrices sont devenues légion et l'Aventador ne déroge pas à la règle. Il faut dire que c'est quand même plus sûr pour passer les 700 ch au sol, une puissance délivrée par un V12 6.5 qui chante fort et qui semble avoir donné des frissons à mon collègue Patrick Garcia lors de l'une de ses traditionnelles virées.


Large, (très) basse et pas toujours très facile à maîtriser, l'Aventador impose forcément le respect, que ce soit à l'arrêt ou en action. Les mensurations hors normes de l'engin ne sont pas étrangères à cette impression de bestialité qui est exacerbée avec la panoplie de peintures parfois même extravagantes que vous pouvez d'ailleurs retrouver dans la section photo du jour de Caradisiac.