Alors que l’actualité du constructeur Lamborghini fait l’objet de toutes les attentions, en raison d’une stratégie assez judicieuse sur le lancement du nouveau modèle de la marque en présentant ce nouveau bolide morceau par morceau, générant ainsi une sorte de buzz autour de ce mystère qui prendra fin au Mondial de l’auto 2008.

On aura par conséquent presque tendance à oublier cette pauvre Gallardo qui dans son coin continue sa petite carrière parsemée d’évolutions multiples comme la Nera, la Supperleggera ou plus proche de nous la LP560-4.

Sommeillant tel un fauve attendant sa proie, elle est l’incarnation parfaite du tournant opéré par la marque, grâce à une polyvalence sans faille la rendant plus facilement utilisable par le commun des mortels au grand dam des habitués de la marque, même si son V10 de 500 chevaux offre des vocalises assez réjouissantes dans la plus pure tradition de la maison...