Si je vous dis « Lola.. » et que vous me répondez « aime le chocolat.. » passez votre chemin, par contre si vous enchaînez avec un « T70 », c’est bon vous avez le droit de rester..

Véhicule si chère aux yeux des passionnés, assumant parfaitement ses plus de 40 printemps, elle doit sa superbe réputation a une carrière sportive en dents de scie avec quelques moments de gloire, mais aussi de nombreuses désillusions..

En effet se battant régulièrement avec l’épouvantail Ford GT40 son manque de fiabilité sur les longues épreuves lui fit véritablement défaut.. Elle connue différentes phases d’évolution mécanique et dynamique mais qui furent insuffisant pour contenir les assauts des maisons Porsche et Ferrari qui bénéficiaient de moyens « suffisants » pour la mise au point des 512 et 917..

Son profil inimitable, la sonorité gougloutante de son V8 Chevrolet et son histoire sulfureuse lui assurent une côte certaine sur le marché des véhicules d’exceptions, mais aussi auprès des aficionados de course de côte ou le nom de Lola est toujours synonyme de chronos fumants..