Ah, la Nissan GT-R... Nous ne remercierons jamais assez le constructeur nippon d'avoir ressuscité Godzilla, car depuis sa sortie, elle nous a quand même donné pas mal de plaisir... pour ceux qui ont eu la chance de la conduire, évidemment.

Peu importe que l'on soi pro ou anti, oublions toutes ces bêtises... Une fois installé derrière le volant, que tous les voyants sont en mode R, que la route est dégagée, vous pouvez envoyer tout ce que vous voulez: du gros, du lourd, du pâté, ça passe tout le temps.

En fait, il faut carrément s'adapter à la vitesse générée par cette incroyable auto. Imaginez que vous aviez une petite sportive assez efficace, genre Clio ou Mégane RS, que vous la connaissez par cœur, tout comme ce grand virage dégagé pas loin de chez vous, que vous adorez couper comme un bûcheron à 140 km/h.

Vous savez où tourner, où freiner, où accélérer, juste pour que les roues extérieures fleurent avec le bas côté... et vous savez qu'on ne passe pas à 150 km/h.

Prenez ce même virage avec la GT-R, au second passage, vous passez à 170... Voilà en gros ce qu'est la GT-R, une nouvelle définition des lois de la physique.

Et il paraît qu'ils arrivent à l'améliorer année après année ! Ce n'est pas ma sportive préférée, mais je dois vous avouer que c'est probablement celle qui m'impressionne le plus.