Comme tout minispace qui se respecte, le Trezia met en avant ses côtés pratiques avec une habitabilité généreuse pour 4 passagers, un volume de coffre dans la bonne moyenne de la catégorie, compris entre 429 et 1 388 litres ainsi qu’une modularité aisée qui permet d’un simple geste de rabattre les dossiers de la banquette arrière pour obtenir un plancher plat.

Essai  vidéo - Subaru Trezia : acte de présence

Contrairement à Toyota qui propose plusieurs finitions sur sa Verso-S, Subaru n’en offre qu’une seule. Ainsi, dès la finition de base, vous hériterez de 6 airbags, de l’ABS, de l’ESP, des antibrouillards avant et arrière, des vitres avant électriques, de la climatisation manuelle, de l’ordinateur de bord, de la radio CD avec commandes au volant, de la peinture métallisée et des jantes alliage 16 pouces. Deux options à signaler : la sellerie cuir (1 800 €) et l’extension de garantie et d’assistance de 3 à 5 ans (570 €). Même si l’essentiel est là, on peut tout de même regretter certaines lacunes telles que l’absence d’allumage automatique des phares et des essuie-glaces, le régulateur/limiteur de vitesse ou la climatisation automatique. Des équipements qui sont de série sur la plupart des modèles concurrents… C’est d’autant plus incompréhensible que le Trezia est vendu entre 1 000 et 1 200 € plus cher que le Verso S qui est mieux pourvu et dispose de certaines options intéressantes comme le SkyView (600 €) ou le dispositif multimédia (Touch & Go). Pas forcément séduisant pour le client…