Alors que ses estimés collègues devaient affronter hier le froid glacial de Francfort (Manuel Cailliot pour la Hyundai I40 et moi-même pour la Nissan Esflow), Alexandre Bataille, lui, se prélasse depuis hier dans la douce chaleur de Los Angeles, une petite bourgade non pas de Californie mais située entre Marbella et Malaga, en Espagne, pour essayer la nouvelle mouture de la Volkswagen Eos, dont Cédric Pinatel vous a communiqué ce matin les tarifs en légère hausse.

Plus confortable, plus mature, plus chère

En attendant son essai complet de la version 2,0l TDI 140 Bluemotion à paraître mardi prochain, Alexandre nous a déjà fait part de ses impressions par téléphone sur ce qui ressemble à un léger restylage à première vue mais qui en fait un repositionnement du modèle dans la gamme : la nouvelle face avant lui donne un côté plus élégant et le confort, notamment avec l'adoption d'un cuir « cool leather » régulant sa température, semble en nette progression sur un coupé cabriolet qui est déjà une référence dans le segment pour son habitabilité par rapport à son encombrement, ce qui a du aider Volkswagen à écouler 175 000 exemplaires depuis sa sortie en 2006.

Plus confortable, plus mature mais aussi plus cher, voici donc le nouveau positionnement de l'Eos revue et corrigée. Mais pourquoi cette philosophie plus marquée ? Et c'est là que le scoop arrive : parce que Volkswagen va présenter au Salon de Genève une nouvelle génération de Golf Cabriolet à l'esprit plus sportif et dotée d'un toit souple. Perdra-t-elle enfin l'arceau disgracieux de ces aînées ? Il faudra attendre quelques jours pour le savoir et découvrir aussi au passage, « d'autres petites surprises », comme nous le promet le constructeur.

Rendez-vous le mardi 22 février pour l'essai complet de la nouvelle Volkswagen Eos