À l'oreille, il semble que cette pub ait quelques accents espagnols. Je ne connais pas spécialement la culture des pays à tendance hispanisante mais force est de constater que James Bond, pourtant séducteur un brin macho, n'est pas, à cette époque, encore intouchable.

Et ses films encore moins.

Ainsi, on découvre avec étonnement un 007 possesseur de DeLorean DMC12 dont on ne peut pas dire que les publicitaires encensent la fiabilité. Etait-il plus facile à l'époque de dénicher une DeLorean plutôt qu'une Lotus Esprit, je n'en sais rien mais à ma connaissance, c'est bien en anglaise que le sujet de sa majesté oeuvrait dans les années soixante-dix.

Déjà que l'outrance DeLorean pourrait être considérée comme insultante par les fans, ils risquent fort de manger leur paquet de Morland Specials quand ils verront l'ersatz de leur héros partir en mission en ... coccinelle.

Viril...