Pour se rendre compte de l’impact du périphérique sur la qualité de l’air de la capitale et la santé des Parisiens, voici quelques chiffres éloquents :

  • Paris et la petite couronne concentrent 40 à 50% des émissions de polluants de la région Ile-de-France (source : Airparif).
  • Le périphérique est responsable à lui-seul de plus d’un tiers des émissions journalières de dioxyde d’azote du transport routier parisien.
  • Le périphérique compte 2 à 2,5 fois plus de dioxyde d’azote que certains autres quartiers parisiens (chiffres de 2008).
  • Le taux de microparticules PM-10 est en général deux fois supérieur à celui préconisé par le Grenelle de l’Environnement.

Le but de l’association est donc simple : réduire le nombre de voitures… et les embouteillages. Bon courage, le chemin est encore long…mais en attendant, signez la pétition pour les aider !