J'en mangerais. Ne vous-êtes vous jamais dit ça devant une sublime mécanique de précision qui n'attend qu'une chose, qu'on l'envoie dans la zone rouge ?

Avouons que l'on en salive presque, de contempler une sportive taillée pour l'attaque, dont les vocalises nous envoûtent, dont les performances nous collent au siège, et dont la ligne... nous fait rêver.

A un certain stade, cette gourmandise irréfrénable se transforme presque en gloutonnerie. Oui, on a envie de brûler bêtement du Super, oui on veut bouffer du pneu, oui on veut exploser les limitations de vitesse, se sentir possédé par cette machine diabolique, et perdre la raison à des vitesses inavouables, tous les sens en émoi !

Je me calme... nul besoin d'aller dans de telles extrémités pour savourer comme il se doit cette déesse qui aurait pu être grecque. Mais comment résister à la folie quand on a démarré son cœur ?