L’été est marqué par l’affaire des ailerons flexibles en F1. Dans le viseur, l’écurie Red Bull qui se défend d’être au-delà des limites imposées. Christian Horner répond aux questions.


« Nous avons entendu et lu beaucoup de choses à propos de notre voiture », lance Christian Horner, patron de Red Bull Racing. « C’est la FIA qui fait le règlement et toutes les monoplaces doivent être conçues à partir des mêmes textes. Notre voiture passe les tests FIA à chaque course et elle les passera encore ici. »

A Spa, la FIA modifie ses tests de flexibilité pour les rendre plus contraignants : « Notre directeur technique, Adrian Newey, me semble très sûr de lui. Et je rappelle que ces tests sont les mêmes pour toutes les écuries. Tout le monde fait face au même défi. »

Au lieu de polémiquer, Horner préfère s’amuser des histoires qui entourent la RB6 depuis le début de la saison : « Nous prenons toutes ces discussions pour des compliments. Cela montre que les autres ne savent pas comment nous rejoindre. Depuis le début de l’année, on nous a parlé de la hauteur de caisse, de notre suspension… C’est désormais l’aileron avant. Et après ? On ne pourra plus s’en prendre qu’à nos pilotes ! »



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