Le 13 mars 2013 a ainsi été signé un contrat pour une nouvelle dynamique de croissance et de développement social de Renault en France. Pas moins de 7 500 départs non remplacés jusqu'au terme du plan en 2016 y avaient été inscrits, mais il avait aussi été dit que les fruits des efforts consentis seraient récoltés sous forme d'embauches. L'échéance semble déjà arrivée. Avec à présent un bénéfice plus que triplé constaté l'an passé, les postes sont ouverts. Dans les usines, mais aussi dans l'ingénierie, tandis que la parité au sein des fonctions sera regardée. Le Losange précise en effet l'embauche d'un nombre significatif de femmes.


Les synergies avec les partenaires du groupe et les gains de compétitivité en France ont permis des réductions de coûts de 844 millions d'euros, affirme Renault qui parle à présent d'un niveau d'activités prometteur. Certes, le groupe AvtoVAZ, désormais contrôlé par l'alliance Renault-Nissan, souffre de la conjoncture russe mais à l'inverse, Nissan présente une santé éclatante qui permet de compenser cette déception. L'an dernier, Renault a vu ses immatriculations progresser de 3,2% en 2014 dans le monde, à 2,7 millions d'unités. Et le groupe français ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.