Pour Didier Auriol, la Metro 6R4 reste l'auto la plus marquante qu'il eu la chance de dompter durant sa carrière de pilote.

Cette puce complètement dingue reste encore aujourd'hui un ovni en raison de son allure de citadine steroidée faisant même passer ses concurrentes du Groupe B de l'époque pour discrètes ! Son tempérament de feu était imputable à son V6 s'exprimant à des régimes peu usuels.

Et comme pour tous les mythes roulants, elle fut une source d'inspiration pour de nombreux passionnés qui tentèrent de se faire une réplique avec plus ou moins de réussite.

Cette réalisation sur base d'une Rover 111 est pour le moins particulière avec une volonté farouche de conserver les dimensions de l'auto de course.