Un refroidissement qui a pris en grippe un marché automobile qui s'est affaissé de plus de 20% en un an. Une plongée qui est toujours d'actualité même si elle s'est ralentie à 9,9% en octobre dernier grâce à des aides gouvernementales accordées au secteur. Mais pour la marque qui n'a pas investi dans un site de production en Russie, la position est difficilement tenable. C'est le cas de Seat qui a vu ses ventes fondre de 57% de janvier à octobre 2014. De quoi sonner l'heure de la retraite.


C'est du moins cette indiscrétion qui est relayée par le quotidien économique russe Kommersant, citant des sources anonymes au sein de l'entreprise. Les importations ne sont plus rentables si bien qu'en 2015, il n'y aura sans doute plus de Seat à vendre en Russie.