Dans la même veine que l'épisode précédent dénommé jovialement "Postures restantes", le "shooter" adepte de décalage aime mettre le nez là où ça fait pas banal !

La recherche du petit détail qui, lorsqu'il est pris dans une globalité inondante, passe totalement inaperçu relève alors d'un passe temps vivifiant entre 2 courses et permet également une mise au repos, certes trop brève, des muscles nucaux. Ces derniers se remettent à travailler dans une longitudinalité bienvenue alors que le passage à vitesse supersonique des autos tend plutôt à filer un torticolis carabiné !

Supercar 500 Paul Ricard: De petits riens...

Ainsi, certains détails sortis du contexte purement racing se parent d'une étrange aura esthétique qu'il faut simplement admirer sans plus de raisons qu'un plaisir de la contemplation. L'ambiance générale d'un évènement se nourrit souvent de ces « petits riens » qui ont parfois plus d'attrait que la grande parade trop bien orchestrée.

Immersion photographique sans apnée s'il vous plait.

Supercar 500 Paul Ricard: De petits riens...

Photos Patrick Garcia