Comme on peut s’en douter, le terrain de prédilection des modèles que nous avons eus aujourd’hui entre les mains est la ville et c’est encore la Twingo qui se démarque avec un diamètre de braquage record de 8,60 m. Une caractéristique due à l’absence de moteur à l’avant qui lui permet également de braquer à 45°. Les manœuvres deviennent des jeux d’enfants. Avec leur diamètre de braquage de 9,60 m, difficile pour les autres de rivaliser, d’autant plus que la Twingo dispose avec le TCe d’une direction paramétrable à la vitesse.


Ces 3 petites peuvent aussi s’aventurer hors des sentiers battus. Même si elles ne déméritent pas, c’est une nouvelle fois la Twingo qui se différencie avec un comportement particulièrement dynamique qui n’a rien à envier à certaines berlines du segment supérieur. Les trois offrent un bon confort global, mais la Twingo se révèle plus silencieuse, ce qui lui confère une plus grande polyvalence. Une impression confortée par les motorisations de nos modèles d’essais, pourvus de leur moteur les plus puissants à savoir le 1.0 82 ch pour les C1 et 108 et le TCe 90 ch pour la Twingo. Ces trois moteurs essence qui sont des trois cylindres se montrent plaisants, mais ceux de PSA émettent davantage de vibrations. Dernier atout pour Renault, un moteur plus puissant de 8 ch et un couple supérieur (135 contre 116 Nm) qui lui permet de bénéficier de meilleures accélérations et de reprises plus convaincantes.