Conçue comme une voiture de sport, la MX5 est une propulsion, légère au centre de gravité très bas. Elle est animée par un moteur vif (1.8 de 126 ch) à la sonorité sportive. Un vrai régal à conduire, cette Mazda MX5 avec son poids plume, sa boîte à faibles débattements et son agilité bien plus marquée qu’à bord de la Mini. Assis au ras du sol, on a l’impression de faire corps avec la machine. Le confort reste correct compte tenu de l’importante rigidité du châssis qui retransmet immédiatement les inégalités de la route.


Match vidéo - Mazda MX5 vs Mini Roadster : le tube de l’été


Basé sur le coupé, la Mini roadster est une traction. Moins fun à conduire, elle a le mérite de proposer une tenue de route digne d’un kart. Direction précise, stabilité remarquable et filtration bien meilleure qu’à bord de la nippone. Quelques pertes de motricité sur le train avant viennent entacher le tableau. Mais au fil des kilomètres, l’allemande se révèle plus accueillante. Son petit moteur essence de 122 ch est un régal à utiliser. Souple et tonique, il est malheureusement desservi par la boîte automatique à 6 rapports (option à 1 650 €), lente et désagréable au possible (nous vous conseillons vivement la boite mécanique).